En 1965, elle chante "La danse de Zorba" sur la musique de Théodorakis qui composa la bande originale du film "Zorba le Grec".
Nouveau succès.
Elle rêve de mariage mais aucun prétendant ne se profile à l'horizon.
La chanson lui prend tout son temps, entre galas et enregistrements de disques.
Fin 1966, son jeune frère Bruno, qui, pour les besoins de sa carrière, a pris le nom de son frère aîné Orlando, prend en main la carrière de sa sœur.
Rosy, leur cousine, est devenue la secrétaire de la chanteuse.
Tout se passe en famille.
Sortie : | octobre 1966 chez Barclay (71 064 M) |
Pochette : | Dambier |
Voir : | DALIDA |
Et aussi : | Serge GAINSBOURG - Hubert ITHIER (Auteur-Compositeur) - Pierre SAKA (Auteur-Compositeur) - Georges DAMBIER (Photographe) |
Face A1 : | Petit homme (Little man) (Sonny Bonno) |
Face A2 : | Je préfère naturellement (Serge Gainsbourg) |
Face B1 : | Un tendre amour (Warm and tender love) (P. Saka - B. Robinson) |
Face B2 | Dans ma chambre (In my room) (H.Ithier - Vance - Pokriss) |
Crédits complémentaires : | Arrangements et direction musicale : Whiffin |
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Remerciements : | Nicolas Murgia |
Autres versions :
pressage étranger
Petit homme (Pressage canadien)
Barclay (ref. B230)
En octobre 1966, la maison de disques italienne RCA lui présente un jeune auteur-compositeur plein de talent, Luigi Tenco.
Ce jeune homme fougueux et contestataire fait forte impression à Dalida.
Pour une nouvelle campagne italienne, le label décide de présenter la chanteuse au Festival de San Remo.
Luigi se charge d'écrire la chanson.
De nombreuses rencontres ont lieu entre les deux artistes.
Une réelle passion naît entre eux. Ils décident de se présenter tous les deux à San Remo, lors du gala du Festival en janvier 67, pour défendre la même chanson : "Ciao Amore"
La pression est forte car Dalida est une star en Italie et Luigi Tenco un jeune débutant.
A cette occasion, ils annoncent à leurs proches leur mariage prévu en avril.
Malheureusement, la soirée tourne à la tragédie.
Luigi Tenco, extrêmement angoissé, sous l'emprise de l'alcool et de tranquillisants, ne supporte pas que le prix échappe à l'un et à l'autre.
Il fustige les membres du jury et dénonce la mainmise de l'argent sur le festival.
Dégoûté et incompris, il se suicide dans la chambre de son hôtel.
Dalida est anéantie.
Quelques mois plus tard, désespérée, elle tente à son tour de se suicider à l'aide de barbituriques.