Messages : 19632 Date d'inscription : 18/03/2022 Age : 66 Localisation : Tourcoing
Sujet: 13 juillet 1966: Palmarès des chansons Mer 13 Juil 2022 - 7:14
ROGERS chante "Le régiment des mandolines" accompagné par l'orchestre de Raymond LEFEVRE, le public danse en écoutant la chanson.
Carlo NELL chante "Dans les plaines du Far West", succès de l'année 45, accompagné par l'orchestre de Raymond LEFEVRE
Claude François - Fleur de Paris
Claude FRANÇOIS chante le refrain de la chanson "Fleur de Paris" (en public et en direct) Il est accompagné des accordéonistes Aimable et Raymond Boisserie. Derrière lui, on reconnaît sur scène les invités de l'émission qui chantent le refrain avec lui: Ginette Garcin Carlo Nell, Gaston, Minouche Barelli, Annie Philippe, Rogers, René Louis Lafforgues
Devant la foule en délire, Roger COUDERC et Guy LUX interprètent "Pense à ta mère", chanson chantée par Albert PREJEAN en 1932. Claude FRANÇOIS les rejoint pour le dernier dernier refrain. Ils sont accompagnés par l'orchestre de Raymond LEFEVRE et par AIMABLE à l'accordéon
Jacqueline DULAC interprète "Ceux de Varsovie" chanson lauréate du concours "La rose de France"
Marc LAFFERRIERE, à la clarinette, et son Quintet interprètent un morceau (non identifié) de jazz New Orléans. Il règne une chaude ambiance sur scène et dans le public.
Devant l'orchestre, Claude FRANÇOIS et Dario MORENO dansent sur un rythme sud américain
Claude FRANÇOIS chante ses nouvelles chansons en direct, il commence par "J'ai joué et puis j'ai perdu".
Direct devant des spectateurs qui dansent.
Sur scène, en direct, tenant ses paroles devant lui, Claude FRANÇOIS chante ses nouvelles chansons: "Chacun à son tour".
Sur scène, Claude FRANÇOIS chante "Le temps des pleurs", accompagné par l'Orchestre Raymond Lefèvre, derrière lui. Public.
Line et Willy interprètent leur dernier succès "Pourquoi pas nous", Willy est à la guitare.
Ils sont accompagnés par l'orchestre de Raymond LEFEVRE, et le public danse.
Annie PHILIPPE chante "Ticket de quai", elle est accompagnée pour chaque refrain par Claude FRANÇOIS